Eliott "Eden" Sparks

ft Louis Tomlinson

Eliott Sparks, surnommé Eden (quand il travaille) a 22 ans et est né à Norwich, le 16 novembre. Il est d'origine anglaise et de nationalité anglaise. Il travaille en tant que pute. Actuellement un peu en galère financièrement, Eliott le vit bien. Côté coeur, il est célibataire et aimerait que ça dure. Reproché d'être têtu, solitaire, peu bavard, manipulateur, il est cependant à l'écoute, docile, chaleureux et extrêmement doué au lit. Il fait également partie du groupe highway to hell.

ton personnage Eliott est une pute, il le vit bien et se fait appeler Eden par ses clients, à Leeds, personne ne connait son véritable prénom ⊹ Eden ne dépend pas d'un mac, il est à son compte et tout son argent, il le donne à sa mère malade ⊹ la mère d'Eliott n'est au courant de rien et pense que son fils est commercial ⊹ Eliott n'aime pas le chocolat ⊹ Aussi loin que remonte sa mémoire, Eden n'a jamais fait l'amour à personne, il se contente de faire ce qu'on lui demande et de faire semblant de ressentir quelque chose ⊹ Eliott vit dans un petit appartement à Leeds et prend le train une fois par semaine pour aller rendre visite à sa mère ⊹ Les clients d'Eliott son généralement des hommes riches, rarement des femmes & il lui arrive souvent d'aller dans les soirées souterraines pour fréquenter des gens de son âge ⊹ Il fait toujours payer ce qu'il fait et annonce toujours la couleur avant de se lancer dans quoi que ce soit ⊹ Il emmène rarement ses clients chez lui car il ne veut pas qu'on sache où il habite, question de sécurité, ce n'est pas parce que c'est une pute qu'il est inconscient et stupide ⊹ Il mange sainement et faire énormément de sport parce que son corps est son gagne pain ⊹ Eliott est allergique à l'iode et ne mange ni poisson, ni fruit de mer ⊹ Sexuellement parlant, Eden ne dit jamais non.  ⊹

leeds et toi, que penses-tu de cette anonyme qui répand des rumeurs sur leeds et ses habitants ? La plupart des rumeurs qui circulent sur moi sont fondées mais je n'y accorde pas vraiment d'importance, de tout façon, il suffit que je sorte ma langue pour que les gens en viennent même à oublier comment ils s'appellent. Alors les rumeurs...  quel secret as-tu peur qu'il découvre ? Aucun, je suis une pute et les gens s'en doute. Je n'aurais pas de client autrement. Cela dit, tout le monde me connait sous le prénom d'Eden à Leeds et je ne voudrais pas que ma véritable identité soit révélée. à quelle fréquence assistez vous aux fêtes souterraines ? Une à deux fois dans le mois, quand j'ai envie de fréquenter des gens de mon âge ou soutirer de l'argent à des gosses de riches qui se croient au-dessus de tout. qu'en pensent tes parents ? Mon père s'est pendu parce que c'est un lâche et ma mère ne doit jamais savoir que je vends mon corps pour pouvoir payer ses soins, jamais elle ne se le pardonnerait. es-tu plutôt jus de fruit ? alcool ? ou cocktail illicite ? Jus de fruit. Je dois toujours avoir les idées claires parce que je risquerais de ne pas me faire payer autrement.

Mélanie J'adore le design, le principe de la débauche (mdrrrr) et je suis impatiente de commencer à RP parce que c'est la première fois que je fais une pute et que j'ai déjà des liens cool & voilà ** ♥ Code: [color=Coral][b]✘[/b][/color] [b]LOUIS TOMLINSON[/b] ⊹ Eliott "Eden" Sparks

Life's a bitch.

QUAND J’ETAIS GAMIN… j’avais la belle vie. J’ai eu de la chance de tomber dans une famille où l’argent coulait à flot et où il me suffisait de demander pour obtenir. Alors j’ai eu une enfance géniale. Idyllique, même. Peut-être que j’aurais voulu avoir un frère ou une sœur mais… j’aurais dû partager, pas vrai ? Alors ce n’était pas plus mal comme ça. J’avais tout ce que je voulais, mes parents pour moi tout seul et c’était vraiment parfait. Mes parents étaient très amoureux et je les ai toujours admiré parce qu’ils s’étaient rencontré l’année de leur 13 ans et qu’ils ne s’étaient jamais quitté. Et c’était mon père, ma mère et moi. Pour toujours.

PUIS CA A ETE A MON TOUR D’AVOIR 13 ANS… et cette année n’a pas été de tout repos. On a découvert que mon père n’était pas franc du collier et qu’il avait des dettes un peu partout. Alors il piochait dans l’argent que lui confiait ses clients. Il s’en sortait plus ou moins parce que la bourse a toujours été de son côté mais… un jour il a tout perdu. Tout. Et comme c’était loin d’être le héro que j’avais mis sur un piédestal mais plutôt un lâche, il s’est pendu dans l’entrée. Alors ce n’était plus que ma mère et moi – et les dettes de mon père. On a vendu tout ce qu’on avait, jusqu’à notre propre maison. L’argenterie de ma mère, même. Tout ce qui pouvait se vendre y est passé. Ma mère a pris 3 boulots et j’ai abandonné l’école privée. Nous avons perdus de vue notre famille et nos amis parce qu’ils avaient peur qu’on leur demande de l’argent. Mais vous savez quoi ? Parce que j’ai la meilleure mère du monde, on a commencé à s’en sortir. Ca nous a pris presque 3 ans mais ça allait mieux. On mangeait à nouveau notre faim et c’était le principal.

SAUF QUE MA MERE EST TOMBEE MALADE… et que les soins étaient trop cher. Elle ne pouvait plus travailler et même si certaine dette étaient remboursés, on n’était pas totalement sorti d’affaire. Et malheureusement, la sclérose en plaque l’empêchait de faire beaucoup de choses. Les patrons ne voulaient pas d’elle parce que si elle allait bien certain jour, il arrivait que parfois, elle soit incapable de marcher. Alors j’ai dû trouver une solution. Et vite. J’ai d’abord songé à travailler aussi mais ça n’allait pas assez vite. J’avais besoin de plus d’argent et je ne pouvais même pas m’occuper de ma mère. Alors j’ai songé à dealer. C’est vrai. J’ai commencé à avoir des fréquentations vraiment pourries, à m’endetter moi-même. On tombe tellement vite, tellement fort qu’un jour on se réveille dans son vomi en se demandant ce qu’on a fait au bon dieu pour se prendre autant de claques.

PUIS ON COMPRENDS QUE CA NE FAIT QUE COMMENCER… le jour où on doit tellement d’argent à un connard de dealer qu’on se retrouve à quatre pattes dans son bureau, la gueule tuméfiée avec la sensation que notre vie ne tient plus qu’à un fil. « Sortez ! », qu’il avait dit à ses Gorilles. Et moi j’étais sur qu’il ne voulait pas de témoin pour me butter. Mais c’était pas ça. « Je te propose un truc, merdeux. Si tu me suces et que j’aime ça, j’oublie ce qu’il s’est passé la semaine dernière. Et peut-être que j’accepterais que tu règles tes dettes comme la pute que t’es. » Et qu’est-ce que j’aurais pu faire d’autre ? Je voyais son putain de flingue sur son bureau et il s’en serait très certainement servi si j’avais refusé. Alors j’ai pensé à ma mère, à l’argent dont elle avait besoin et au fils qui devait arrêter ses conneries et veiller sur elle comme il le lui avait promis – puis j’ai hoché la tête en silence avant qu’il ne baisse son pantalon.

Y A DES PREMIÈRES FOIS QU’ON N’OUBLIE PAS… et même si je n’avais jamais eu aussi honte de toute ma vie et que je ne m’étais jamais senti aussi sale et comme une sous-merde… j’ai fini par régler mes dettes avec lui. Bien sûr, une pipe de temps en temps avait fini par ne plus lui suffire et j’avais dû me mettre à quatre pattes pour qu’il assouvisse tous les fantasmes sexuels que sa femme ne pouvait pas combler. C’est le soir où il m’a dit que l’une de ses connaissances haut placé serait intéressée pour me sauter que j’ai pris conscience que je pourrais avoir beaucoup d’argent. Et vite. Alors j’ai accepté. J’ai fait en sorte que les gens oublient que je me prénommais Eliott et emménagé loin de chez moi pour que ma mère n’ait jamais vent de rien. Alors même si je lui ramenais de l’argent sans qu’elle sache d’où il venait, j’allais la voir au moins une fois par semaine et je restais le garçon qu’elle avait toujours rêvé d’avoir. Et c’était le plus important.

EDEN EST NÉ… et j’ai fini par apprendre à l’aimer. Rapidement, j’ai compris que racoler dans la rue ne m’attirerait que des emmerdes alors j’ai enfilé un costard classe et j’ai visé le haut de gamme. D’abord des femmes qui avaient besoin de se sentir aimé puis d’autres qui avaient besoin de se sentir toujours jeunes et attirantes. Mais je n’aime pas les femmes, elles ont tendance à croire que parce qu’elle nous paie, elles peuvent nous exhiber comme le dernier sac à main à la mode. Et j’en avais ras le bol de sourire et d’être la plus jolie plante verte du gala de charité auquel madame était invité. Alors je me suis de nouveau tourner vers les hommes. Ils paient mieux – pour la confidentialité – et ne parlent pas. Je me pointe, on baise, ils me paient et je m’en vais. Pas de soirée, pas de conversation interminable… Et j’ai la sensation que c’est beaucoup mieux comme ça. Il m’arrive encore de me laisser approcher par le commun des mortels mais c’est généralement pour m’amuser.

ELIOTT N’EST PAS MORT… il est toujours là, chaque fois que je rentre dans ma ville natale. Chaque fois que des amis de longues dates souhaitent avoir de ses nouvelles. On pourrait dire que je mène une double vie. Mais je le vis bien. Je n’ai plus honte de ce que je suis devenu parce que je le fais pour ma mère. Pour qu’elle ait la vie qu’elle méritait d’avoir. La vie que mon lâche de père aurait du lui offrir.